Avant le match retour de Ligue des Champions face à Arsenal, Zinédine s’est confié en exclusivité sur les chances madrilènes à Highbury. Zizou y croît.
Zinédine, au match aller contre Arsenal, vous êtes passé à côté… Ca faisait partie des objectifs de cette année avec le championnat et bien sûr la Coupe d’Espagne qu’on a déjà perdu. Je crois que c’est vrai que sur les douze derniers matchs que l’on a fait, les deux matchs que l’on a raté étaient les deux matchs les plus importants.
Vous croyez encore pouvoir inverser la tendance à Londres ? Ce n’est pas perdu tout à fait comme on avait pu le faire en Coupe d’Espagne à l’aller face à Saragosse. Contre Arsenal, on aurait pu perdre ce match 0-2 ou 0-3 ou même plus. A 0-1, tout est encore jouable. En même temps, il faudra faire un tout autre mach là-bas, puisque ce sera encore plus difficile. Mais on en est capable, on est capable de faire un grand match, j’espère qu’on va le faire. Pour toi, à l’aller le problème était tactique, technique ou physique ? Non. C’est simplement nous les joueurs… Ni tactique ni quoi que ce soit. On était tous bien avertis puisqu’on avait eu ce match de Saragosse trois semaine savant. On savait qu’on avait affaire à une belle équipe d’Arsenal qui joue bien en contre. Le seul truc, c’est qu’on n’était pas dans ce match, chacun de son côté. On n’a pas fait le match qu’il fallait. On n’est jamais rentré dedans et ça ne pardonne pas contre cette équipe là.
Thierry Henry nous disait à la fin du match aller que le Real Madrid était toujours capable de faire la différence à Highbury… A nous maintenant : au lieu de parler il faudra le faire.
Au retour contre Saragosse vous avez montré que quand vous étiez vexés vous étiez capables de grandes choses… comme l’avait fait l’équipe du Real Madrid de Juanito célèbre pour ses remontées fantastiques… Non, je n’en sais rien. C’est simplement l’envie de chacun qui fera la différence, pas les souvenirs ou quoique ce soit. C’est simplement l’envie de chacun au moment du match. On verra dès la première minute si on a envie et si on est capable de retourner la situation. Et surtout si on en a envie car c’est un match important pour nous
L’un des derniers matchs du Real Madrid en Angleterre avait été une réussite malgré le score (4-3), c’était à Manchester… Surtout face à ces équipes qui en lâchent rien à la maison. Ils seront soutenus par un public qui ne les lâchera pas jusqu’à la fin. On aura du boulot. Et pour ça, il faudra être vraiment à 120% au lieu d’être à 100%.
Je te sens motivé, pas catastrophé… Non, il n’y a pas de catastrophe, parce que comme je t’ai dit, 0-1 tout est permis. On en est capable. C’est simplement pour ça. Maintenant, il faut peut-être qu’on arrête de trop parler, en même temps t’es le seul à qui je parle parce que je n’ai plus envie de parler. Voilà, j’espère qu’on va pouvoir relever le défi, car nous sommes capables de relever le défi. On a une équipe : les dernières prestations montrent qu’on n’est pas au mois de novembre où nous étions dans le doute. Là, on a fait quand même de bons matchs, on sait où on va. Le seul problème, c’est qu’on n’aurait pas dû rater celui-là.
Avant le match retour de Ligue des Champions face à Arsenal, Zinédine s’est confié en exclusivité sur les chances madrilènes à Highbury. Zizou y croît.
Zinédine, au match aller contre Arsenal, vous êtes passé à côté… Ca faisait partie des objectifs de cette année avec le championnat et bien sûr la Coupe d’Espagne qu’on a déjà perdu. Je crois que c’est vrai que sur les douze derniers matchs que l’on a fait, les deux matchs que l’on a raté étaient les deux matchs les plus importants.
Vous croyez encore pouvoir inverser la tendance à Londres ? Ce n’est pas perdu tout à fait comme on avait pu le faire en Coupe d’Espagne à l’aller face à Saragosse. Contre Arsenal, on aurait pu perdre ce match 0-2 ou 0-3 ou même plus. A 0-1, tout est encore jouable. En même temps, il faudra faire un tout autre mach là-bas, puisque ce sera encore plus difficile. Mais on en est capable, on est capable de faire un grand match, j’espère qu’on va le faire. Pour toi, à l’aller le problème était tactique, technique ou physique ? Non. C’est simplement nous les joueurs… Ni tactique ni quoi que ce soit. On était tous bien avertis puisqu’on avait eu ce match de Saragosse trois semaine savant. On savait qu’on avait affaire à une belle équipe d’Arsenal qui joue bien en contre. Le seul truc, c’est qu’on n’était pas dans ce match, chacun de son côté. On n’a pas fait le match qu’il fallait. On n’est jamais rentré dedans et ça ne pardonne pas contre cette équipe là.
Thierry Henry nous disait à la fin du match aller que le Real Madrid était toujours capable de faire la différence à Highbury… A nous maintenant : au lieu de parler il faudra le faire.
Au retour contre Saragosse vous avez montré que quand vous étiez vexés vous étiez capables de grandes choses… comme l’avait fait l’équipe du Real Madrid de Juanito célèbre pour ses remontées fantastiques… Non, je n’en sais rien. C’est simplement l’envie de chacun qui fera la différence, pas les souvenirs ou quoique ce soit. C’est simplement l’envie de chacun au moment du match. On verra dès la première minute si on a envie et si on est capable de retourner la situation. Et surtout si on en a envie car c’est un match important pour nous
L’un des derniers matchs du Real Madrid en Angleterre avait été une réussite malgré le score (4-3), c’était à Manchester… Surtout face à ces équipes qui en lâchent rien à la maison. Ils seront soutenus par un public qui ne les lâchera pas jusqu’à la fin. On aura du boulot. Et pour ça, il faudra être vraiment à 120% au lieu d’être à 100%.
Je te sens motivé, pas catastrophé… Non, il n’y a pas de catastrophe, parce que comme je t’ai dit, 0-1 tout est permis. On en est capable. C’est simplement pour ça. Maintenant, il faut peut-être qu’on arrête de trop parler, en même temps t’es le seul à qui je parle parce que je n’ai plus envie de parler. Voilà, j’espère qu’on va pouvoir relever le défi, car nous sommes capables de relever le défi. On a une équipe : les dernières prestations montrent qu’on n’est pas au mois de novembre où nous étions dans le doute. Là, on a fait quand même de bons matchs, on sait où on va. Le seul problème, c’est qu’on n’aurait pas dû rater celui-là.